Le partenariat avec notre RPG est possible. Dans ce forum, nous trouverons les sous-forums appropriés pour publier une annonce. Gardons à l’esprit que le personnel répondra autant que faire se peut.
On aimes tous avoir un peu plus de lore sur nos personnages. Alors voici, la catégories des Relations ! Une fiche est à ta disposition, amuse toi bien et surtout fait toi plein de copain !
Un drapeau blanc et un soleil, rouge, flottant. La mairie, l’un des plus imposant bâtiment de Mayaku. Illustration de l’ancien empire japonais : imposant et souverain. De grandes ailes de pierre et quatre étages dominant le Nord.
Un palace regroupant les plus grosses fortunes de Mayaku. Une longue allée entretenus, un bâtiment presque monument. Le nord et son arrogance à l'état pur.
Une architecture impressionnante et des dalles de marbres reflétant les rayons du soleil. Justice aveugle, mais tape à l’œil. Le palais de justice s’impose dans le paysage urbain, et dans les esprits. Dominant et implacable.
Entre les clapotis d’une fontaine et le gazouillis des chants d’oiseaux. Le soleil se reflète un peu partout, dans l’eau et sur les pierres. Entre les branches des arbres et sur le visage des passants.
Dans le faste du Nord, de beaux logements à l’architecture moderne qui bordent de larges avenues. De grandes vitres, laissant entrer la lumière et offrant une jolie vue sur la ville. Un confort inaccessible pour certains, instagramable pour d’autres.
Derrière la transparence des vitrines, de grands espaces intérieurs soulignés de blanc. Des airs de startup et un aménagement feng shui, pour une société au fonctionnement tyrannique. Car tout est question de cadre, et de hors-champs.
Des amphithéâtres aux révisions en plein air, des laboratoires aux bibliothèques universitaires. Sous des arbres ou devant une machine à café, se croisent étudiant.e.s japonais.e.s et d’autres pays, profitant d’une qualité d’enseignement digne de l’importance de la ville.
L’une des plus grandes bibliothèques de la ville. Aux odeurs d’impressions et d’encre se mêlent les notes de quelques vendeurs, recommandant les œuvres favorites. Des livres en tout genre qui s’entassent sur les tables et entre les rayons.
Un cours d’eau légérement capricieux, qui le parcourt et le sillonne. Des ponts pour l’enjamber et l’éclat de quelques bourgeons qui fleurissent. Comme une peinture expressionniste qui inspire le calme quand le ciel se reflète dans le ruissellement de l’eau.
Plusieurs bâtiments bien rangée et des rues bien entretenues. L'Ouest a tout d'un endroit tranquille, tout à proximité, tout à porté de main. Un peu comme ci on avait décidé de placer ces logements là, auprès de l'effervescence économique de la ville.
La lumière orange des réverbères en guise d’étoile. Des tags plutôt que des fleurs. Signature de gang ou numéro de dealer sur les murs. De jour comme de nuit, les rues sont bondés. L’odeur de la peinture et de l’urine. Décadence, ou poésie ?
Le dark web en dehors de la matrice. Puisque tout peut se vendre, mais pas sur tous les marchés. Un cercle de l’enfer mais, sur terre. Dans l’ombre, armes à feu, drogues, pour le moins bouleversant. Des monstres bien pires sous le lit.
Oasis de luxe dans le désert de l’Est. De larges canapés et des luminaires suspendus. Le bois du comptoir qui brille avec les meilleurs alcools en provenance de l’étranger. Pour une clientèle bien spécifique, bien évidemment.
On raconte que c'est l'endroit le plus crado de tout Mayaku. Odeur d'alcool, odeur de pisse. Pourtant, il y encore des gens pour faire des slides, encore des jeunes pour s'amuser. Dans quoi ? La crasse.
Des allures de squat et de bidonville. Bâtiments délabrés aux installations électriques capricieuses. Poussières et vitres brisées. Des murs fins, permettant d’entendre les voisins. Plus d’ordre. Une résidence? Un trou.
Une lourde porte au bout d’un escalier. Imposant sanctuaire aimant à touriste. Lumineux et brillant le jour, son obscurité se révèle la nuit à la lumière des chandeliers. Et certaines portes sont interdites au public.
Un accueil entre les masques et les costumes en soie fine. Reliques de représentations centenaires. Puis, il y a la salle et les planches. Parterre de fauteuil face à la scène et les salles qu’on ne voit pas, les coulisses et les loges, des acteurs.
Une omniprésence de blanc. Déambulation de malade, dans les couloirs, et de robots slalomant entre des jambes humaines. Car le complexe hospitalier s’équipe, et que ces droïdes transportant ordonnances et médicaments semblent être appréciés par les patients !
Des voiles qui claquent sous le vent. Petit port de plaisance, pour une escapade en mer. Des pontons de bois et des voiliers bercés par la houle. Quelques vendeurs de boisson et de glace, sur le bord de mer. Et la marée qui monte, et redescend.
En harmonie avec l’esthétique traditionnelle du quartier, les résidences du Sud épousent le paysage naturel. Beaucoup de bois et d’ouverture sur l’extérieur. Inspirant le calme. Loin des tumultes de Mayaku. Comme un lieu de repos.
Un institut au fond du bois, des grands murs et beaucoup de grillages. On raconte que l'asile a vu passer beaucoup de misère mais que depuis un certain temps, les âmes en peine se sentent plus légères.
Aucun bruit pour vous accueillir. Une prison austère où chaque détenus hésite à s'exprimer. Un endroit reconnu pour son autorité et détesté pour son insalubrité.
L’espace détente, le BDE de l’université, la salle des employés ! Distributeur de canette, et machine à café. Twix et Muffin. Pour se rencontrer, discuter, échanger, s’inspirer. Et dire n’importe quoi ! Allez, viens. Les doigts de pieds en éventail !
Vestiges du passé. Ruines et mausolées. Livres d’histoires, et témoignages. Ceux qui ont été, et ce qui fut, et qui n’est plus. Le passé de Mayaku s’offrant, ainsi, sur une tablette de cire, aux yeux de tous, réchauffé par le soleil.