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La lumière orange des réverbères en guise d’étoile. Des tags plutôt que des fleurs. Signature de gang ou numéro de dealer sur les murs. De jour comme de nuit, les rues sont bondés. L’odeur de la peinture et de l’urine. Décadence, ou poésie ?
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Le dark web en dehors de la matrice. Puisque tout peut se vendre, mais pas sur tous les marchés. Un cercle de l’enfer mais, sur terre. Dans l’ombre, armes à feu, drogues, pour le moins bouleversant. Des monstres bien pires sous le lit.
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Oasis de luxe dans le désert de l’Est. De larges canapés et des luminaires suspendus. Le bois du comptoir qui brille avec les meilleurs alcools en provenance de l’étranger. Pour une clientèle bien spécifique, bien évidemment.
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On raconte que c'est l'endroit le plus crado de tout Mayaku. Odeur d'alcool, odeur de pisse. Pourtant, il y encore des gens pour faire des slides, encore des jeunes pour s'amuser. Dans quoi ? La crasse.
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Des allures de squat et de bidonville. Bâtiments délabrés aux installations électriques capricieuses. Poussières et vitres brisées. Des murs fins, permettant d’entendre les voisins. Plus d’ordre. Une résidence? Un trou.